Médecin Allergologue à CHAUMONT (52).
Parcours médical
- Cursus universitaire à Dijon.
- Etudes d’immuno-allergologie à Paris (Necker, enseignement de Paupe et Scheinmann, stages pratiques à Pasteur),
- Reçu au certificat d’immuno-allergologie en 1984,
- Qualification reconnue par l’Ordre des médecins en 1986.
- Service militaire en 1984-1985, exercé en tant qu’urgentiste (SMUR) au centre hospitalier de Chaumont (Haute-Marne).
- Installation à Chaumont (Haute-Marne) depuis 1986, initialement en tant que médecin généraliste avec compétence en allergologie, puis exercice exclusif à partir de 1987, secteur 2.
- Qualifié en médecine générale par l’Ordre départemental des médecins
Autres activités médicales
- Médecin régulateur SAMU depuis 1990, 300 heures de garde par an en moyenne.
- Médecin-pompier volontaire depuis 1987, président de l’association de formation médicale continue pour les professionnels de santé du département.
- Adhérent au syndicat ANAIS depuis 2002, membre du bureau entre 2003 et 2009, actuellement simple adhérent au syndicat SYFAL
- Membre de l’ARCAA depuis 2008
- Président du syndicat CSMF de Haute-Marne
- Elu régional URPS médecins libéraux de Champagne-Ardenne
- Elu délégué départemental de la CARMF en 3e mandat
J’ai toujours eu une âme de militant, avec la volonté de promouvoir l’allergologie et l’image de l’allergologue dans une activité de prise en charge médicale globale.
Mon implication dans le syndicat
- Participation aux activités de communication (presse grand public, diaporamas).
- Optimisation de l’organisation de l’activité médicale en allergologie :
- Expérience d’emploi d’assistante médicale pour possibilité de délégation d’actes,
- Optimisation de l’utilisation de la nomenclature CCAM (association d’actes),
- Extension du plateau technique pour orientation vers médecine transversale.
- Proposition d’implication dans la formation de jeunes allergologues, comme maître de stage chez le praticien.
- Organisation de l’activité de diagnostic et de soins dans les zones déficitaires en activité allergologique, dans les départs en retraite ou des arrêts maladies de longue durée. Il sera nécessaire d’organiser des réseaux de remplacement temporaire, voire de cabinets secondaires, ou exercice en télémédecine.
Mes objectifs
- Montrer que le métier d’allergologue peut être attractif,
- Que sa position dans le parcours de soins est incontournable, qu’il répond efficacement aux besoins de la population souffrant d’allergie.
- Qu’il doit également évoluer dans l’organisation de l’activité allergologique en fonction des données de démographie médicale en France et en Europe.
L’allergologie française reste encore pour beaucoup de médecins étrangers un modèle de prise en charge, tant sur le plan diagnostique que thérapeutique, pour le bien-être de la population souffrant d’allergie.